CONCLUSION
A l’origine Kirchberg avait pour but d’accueillir exclusivement
les Institutions européennes. Toutefois le Fonds d’Urbanisation
du Kirchberg, las de voir un quartier vide après les heures de
travail, décida de mener une politique d’ouverture du plateau
vers d’autres secteurs : les loisirs, le culturel, l’habitat.
De nombreuses installations sortirent de terre, que ce soit des
banques, des bâtiments administratifs, des immeubles résidentiels...
Avec une obsession pour l'écologie et une omniprésence des espaces
verts. Pourtant, nous pouvons dire que cette politique, menée
par le Fonds, dès 1980 n’a pas portée ses fruits dans la mesure
où, actuellement Kirchberg ne peut pas être considéré comme une
ville vivante. En effet le fait qu’il n’y ait pas de commerces
reste une entrave cette notion de convivialité urbaine.
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